jeudi 8 mai 2008

les réfugiés touaregs, la tragédie

Après des quinzaines d’années de sérénité, les réfugies touaregs s’installent une nouvelle fois dans les camps des sinistrés, depuis plus de deux moi, au sud de l’Algérie; croupissent dans les camps isolés et battus par les vents.
Fuyant de la violence effroyable des répressions de l’armée malienne, des dizaines d’année plus tard, après les crimes, les génocides et les tragiques événements commis par l’armée malienne.
C’est à Timiaouine, Tinzaouaten, Bordj Badji Mokhtar, les villes frontalières les plus proches du mali, qu’on trouve des centaines de réfugiés touaregs. Venus de Kidal et ses banlieues.
L’assassinat des deux cadres touaregs originaires de cette ville désertique au nord du mali et la désertion des plusieurs officiers touaregs de l’ADC, considèrent les raisons directs de cet exode.
Ces familles touarègues ils vive jusqu’au présent dans les conditions très déplorables et entièrement misérables.
La localité de Tinzaouaten est l’une des communes les plus hospitalière de ces confrères touaregs.
Pour le moment il y a deux camps des réfugiés à Tinzaouaten ; l’un est situé à 3km d’achébréche « Tinza Mali », et l’autre dans la même place du premier camp des années 90.
La vie dans ces camps de Tinzaouaten est incroyablement dure. Une chaleur écrasante l'été (50 degrés à l'ombre). Les vents de sable rendent l'atmosphère irrespirable. Mais le pire, pour tous ces réfugiés touaregs, c'est l'attente.
Les habitants de ces deux camps ont besoins de tout pour l’instant, les produits alimentaires nécessaires, et ont besoin d’un dispensaire mobile, à cause de l’infection de plusieurs maladies très dangereuses risque d’avoir des conséquences très sévères sur l’état de santé général des réfugiés,
Plus de moitié des enfants des réfugiés sont sous-alimenté, et plusieurs autres de ces enfants souffrent d’anémie, rougeole, malaria…
La croix rouge et le croissant rouge Algérien sont présent sur les terrains pour donner l’aide, mais malgré tout ces efforts il y a toujours l’insuffisance car le nombre des réfugiés est en augmentation.
Un chef de ces réfugiés touaregs a lancé un cri de détresse en direction des gouvernements et organisations humanitaires pour fournir de l’assistance aux réfugiés touaregs au sud Algérien.
Notamment les enfants, les femmes et les personnes âgées, «sont toujours dans l'attente de l'arrivée des aides alimentaires pour couvrir leurs besoins.